L’Ambassadeur de Serbie à Sarba au sud du Liban

L'ambassadeur de Serbie au Liban, Emir Elfic, s'est rendu à Sarba au sud du Liban, près de Maghdouche, à l'invitation de la journaliste Rita Hage, en coordination avec la municipalité de Sarba, pour examiner les ruines montrant les traces de la présence de l'armée serbe au Liban pendant la période des croisades.



Il a été reçu accompagné par la délégation par le Maire Maitre Elias El Helou, membres du Conseil Municipal et par la famille de l'Avocat Youssef Bou Saleh.


 L'ambassadeur a visité des parties du château construit au 11ème siècle sur dix mille mètres carrés durant les guerres contemporaines menées par Saladin contre les croisés.



 On dit que la citadelle de Sarba (ou la forteresse serbe, comme l'appellent ses habitants) était une forteresse pour les soldats serbes ou les restes de son mur et de ses parties qui ont été brûlées trois fois au cours de l'histoire et ses trois étages sont toujours ensevelis sous la premier étage restant jusqu’à aujourd’hui et ont été reconstruits au temps de l’émir Fakhruddin le premier.


Lors de notre entretien avec le maire Elias Helou, qui a salué la visite de l'ambassadeur de Serbie et la visite d'inspection, il nous a fourni des informations préliminaires sur les relations entre ce fort historique et son association avec la présence de l'armée serbe sur son territoire, en plus du fait que le nom de la ville est probablement lié à ce sujet, bien qu’il n’unisse pas de documents concrets jusqu’à présent concernant ces monuments historiques, qui symbolisent une période importante de l’histoire du Liban.


De son côté l'ambassadeur de Serbie, Emir Elfic, a exprimé son intérêt pour ce patrimoine culturel historique, le passage des soldats serbes au Liban et a promis de poursuivre les recherches afin de garantir l'authenticité de ces informations par l'intermédiaire du ministère de la Culture de Serbie, en coopération avec le ministère de la culture au Liban, plaçant ainsi cette ville de 2500 personnes sur la carte touristique.